Vendredi 30 décembre 5 30 /12 /Déc 17:13

Lundi soir, un ami à lui est chez lui. En arrivant, il fouille dans mon sac pour trouver mon collier. J'essaie de le dissuader de me le mettre sachant que son pote est là mais il insiste.

  • “C'est normal que tout le monde sache que t'es une chienne. Non ?

  • Oui Maître, je lui réponds

Je mets donc le collier et me dirige dans le salon pour saluer son ami que j'avais déjà vu à plusieurs reprises. C’est celui que j'avais dû saluer d'un “bonjour Monsieur” la première fois que je l'ai vu.

 

Je suis au début très gêné puis j'oublie peu à peu le collier qui fait maintenant partie de moi. Viens le repas, nous mangeons, puis, à la fin du repas, mon Maître me demande de déboutonner mon pantalon et de me mettre à plat ventre sur ses genoux sur le canapé. Son pote est toujours à côté dans la cuisine ouverte et peut tout voir. Je ne veux pas mais je n'ai pas le choix. Il me baisse le pantalon, je suis cul nu, le ventre sur ses genoux et il me met des fessées comme à un enfant. Ça claque suffisamment fort pour que son pote entende et regarde. J'ai tellement honte de m'être pris des fessées devant son ami que je connais bien maintenant que je n'ose pas me relever du canapé.

Après cette séance, nous montons dans sa chambre. Après des claques sur le corps et les fesses, je me retrouve à 4 pattes sur le lit, le cul face à mon Maître. Ce soir il a pour objectif de me dilater au maximum. Pour ça il n'utilise que sa main. Il commence par 2 doigts, puis 3, puis 4. Il ne cesse de faire des va et vient dans mon cul. Des fois il ressort entièrement  pour rerentrer direct ou bien il me laisse croire qu'il va ressortir mais rerentre à fond sans me laisser me détendre, ce qui est très frustrant. Au bout d'un moment, je sens que je suis très dilaté :

  • Ton cul ne se referme plus, un vrai cul de salope !

Il le prend en photo, effectivement après tant de va et vient, mon cul d'ordinaire très serré reste grand ouvert. Mon Maître tente alors d'aller plus loin et force pour faire passer les 4 premiers doigts jusqu'à la moitié de la main dans mon cul. Je n'ai jamais eu quelque chose d'aussi large que sa main dans mon cul. je suis partagé entre la volonté d’arrêter et le fait de découvrir une nouvelle sensation. Il est littéralement en possession de mon cul, chaque mouvement que je fais amplifie les sensations de sa main coincée dedans. Après un moment, il retire sa main, je ressens autant un soulagement que l'envie d'avoir à nouveau sa main dans mon cul.

 

Il m'emmène ensuite dans la salle bain pour me faire boire sa pisse. Je dois le regarder dans les yeux sans en mettre à côté durant tout le temps qu'il me remplit la bouche. J’en laisse couler à côté et il me frappe le visage pour me faire comprendre que ça n'est pas comme ça qu'une chienne doit boire.

Son objectif est que je puisse boire sa pisse dans le lit sans en laisser une goutte à côté et de rentrer entièrement sa main dans mon cul. J’ai encore des progrès à faire mais je ne doute pas y arriver un jour, tant ma dévotion pour mon Maître est grande.

 IMG_20161108_225336935.jpgIMG_20161108_225343301.jpgIMG_20161108_225403238.jpgIMG_20161108_225630331.jpgIMG_20161108_225704998.jpgIMG_20161108_225720094.jpg

Par dogmino
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 30 décembre 5 30 /12 /Déc 17:06

Je revois mon Maître que je n'ai pas vu depuis plus d'une semaine car il était en vacances. Avant de partir pour chez lui, il me demande de poser une cage de chasteté en fer sans sous vetement sous le pantalon.

Arrivé chez lui, il m'embrasse et m'emmène directement dans la chambre pour me mettre mon collier. Il me demande de me mettre à 4 pattes par terre. Là il me tire les couilles par l'arrière pour installer un humbler en plus de la cage de chasteté. Mes couilles se retrouvent très étirées et je le ressens sans même avoir à bouger. Il attache ensuite le humbler à mes pieds avec des sangles. Je ne peux plus bouger le bas du corps, je suis à genoux. Il me plie le bout de la laisse dans la bouche que je dois serrer avec les dents.. Puis il m'enfonce direct une queue de chien dans le cul avec un peu de lubrifiant sans préparation, ce qui me fait très mal sur le coup, je ne peux m'empêcher de gémir.


Pour finir ma transformation, il accroche une laisse à mon collier et me scotche les avants-bras au bras. Je suis maintenant comme une chienne qui ne peut pas marcher. Il me claque les fesses plus fort qu'il ne l'a jamais fait, dans cette position je ne peux que subir, chaque mouvement que je fais me tire les couilles. J'essaye de bouger mais il ne s'arrête pas, je ne peux même pas m'allonger, juste rester sur mes genoux à 4 pattes en attendant que ça s'arrête. Il s'arrête et je prends du temps avant de me relever. Il me demande de me regarder dans le miroir pour admirer la chienne que je suis devenue.


Il me retire la laisse pleine de bave de la bouche et la remplace par un bâillon avec un trou à l'intérieur dans la bouche, ce qui me fait baver encore plus. Il sort sa bite pour que je le suce, enfin il fait des va et vient dans l’anneau du bâillon et va jusqu'au fond ce qui m'empêche de respirer. À plusieurs reprises j'ai envie de vomir.

  • “T'as vu comment tu baves partout, t’es pas présentable”.

Il décide de me faire marcher dans la chambre juste pour le plaisir de me voir lutter. Ça tire les couilles, je marche centimètre par centimètre et mon Maître se fout de moi. Il me demande de rester à 4 pattes par terre et l'attendre, il revient avec une gamelle de gnocchi pas cuits que je dois manger comme un chien. Le premier avalé, il pisse dans la gamelle et dans mes cheveux. La bouffe est noyée dans la gamelle, je plonge la tête entièrement dans la pisse pour réussir à manger des gnocchis que j'avale avec sa pisse.


Une fois ma gamelle terminée, il me traîne par la laisse le long du long couloir qui sépare sa chambre des toilettes. Le trajet me semble interminable tellement mes couilles sont douloureuses. Une fois arrivé il me met la tête dans la cuvette et tire la chasse d'eau. Il veut que je lape l'eau au fond comme un chien et tire à nouveau la chasse d'eau. Je suis à 4 pattes la tête trempée dans les toilettes et je n'ose pas me relever, rouge de honte. Je reprend le couloir toujours à 4 pattes et le humbler qui me tire les couilles, je marche tête baissée, très humilié de tout ce qui s'est passé. Il me demande de marcher en regardant le miroir pour voir la sous merde que je suis, à 4 pattes marchant devant lui debout.


On retourne dans la chambre pour me faire à nouveau claquer les fesses qui sont déjà très rouges. Il me prend au photo comme il prendrait son chien en photo. De devant, de derrière. Je me mets debout sur mes genoux les pattes en l'air comme une chienne et il me prend encore en photo. Il n’a pas fini de pisser, il m'emmène dans la salle de bain pour que je boive. Je ne dois pas en mettre a côté, il met sa bite dans ma bouche et se vide sans s'arrêter. je dois suivre le rythme et avaler très vite.


Ensuite nous finissons dans le salon pour manger en regardant la télé. Avant d’être installés, mon Maître m’insère un vibro en position max dans le cul et me met une couche sous le pantalon. Sur le canapé, il veut que je lui tête et suce les tétons. Une fois le repas terminé, nous redescendons pour dormir et je m'endors comme toujours avec mon collier.

Comme d'habitude au réveil, je me dois de lui faire plaisir. À peine réveillé, je suis sur lui tête vers ses jambes et je le suce pendant que mon Maître me tire les couilles. Je lui lèche les couilles et joue avec ses tétons pour qu'il éjacule dans ma bouche et que j'avale son sperme.

IMG-20161026-WA0000.jpgIMG-20161021-WA0000.jpgIMG_20161103_205752286-copie-1.jpg

Par dogmino
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 27 décembre 2 27 /12 /Déc 18:17

Je vois mon Maître pour la troisième fois. Pas encore tout à fait à l'aise, curieux, inquiet mais heureux de le revoir. Il me rejoint à l'extérieur devant sa porte, il fait froid j’ai hâte de rentrer. Malheureusement, il m’entraîne un peu plus loin, me baisse le pantalon et le boxer et me demande de marcher comme ça jusqu'à la grille du parking en espérant que tous les voisins me voient. Je suis excité mais pas du tout à l'aise à l’idée qu’un passant voit ma queue. Heureusement pour moi, la rue est déserte et nous nous dirigeons vers la maison. Une fois rentré, je me déshabille devant lui comme d'habitude. Je le vois sortir un martinet pour chien qu’il vient d’acheter et il me claque les fesses, le dos, le ventre, la bite, les couilles avec. Chaque coup qu'il porte laisse une trace rouge, un pli sur la peau. J’ai mal mais seuls des petits gémissements sortent de ma bouche. Chaque fois qu'il repasse sur une marque avec le martinet est pire que la précédente, il le sait et en fait exprès de frapper au même endroit. Des fois il fait semblant de frapper, je m’agite en croyant me prendre encore un coup de martinet, mais rien. Je montre alors ma fragilité, nerveusement je rigole, sûrement pour ne pas avoir de larme qui s'écoule à la place. Une fois le corps recouvert de traits rouges et de boursouflures, il m'allonge sur le lit. Je suis soulagé, pensant en avoir fini pour aujourd'hui. Mais non, il m'a juste allongé pour que ca soit plus pratique de me claquer les fesses avec ses mains. Ses mains me font mal, peut être plus que le martinet. Il me claque les deux fesses, des dizaines de coup sans interruption, j'essaie de ne rien faire paraître mais je gémis, bouge dans tous les sens pour faire en sorte qu'il frappe au moins une fois à côté. J'ai presque envie de pleurer mais j’aime ça. À peine fini, je respire fort, j’en redemanderais presque si je ne voyais pas la couleur rouge vive de mes fesses et les bleus que ses claques me procurent.

Il me demande ensuite de me foutre à 4 pattes sur le lit et commence à me fourrer un tas d'objet dans le cul : gode, plug, queue de chien, grosses boules de geisha, la troisième boule ne rentre pas malgré mon cul déjà bien dilaté. Je me retrouve alors à 4 pattes, la tête sur les draps, les bras allongés essayant d'aggriper les draps à chaque coup de plug et de gode. Il sort un spéculum, je n'en ai jamais utilisé auparavant, ça rentre facilement dans mon cul bien ouvert. Il l'ouvre de plus en plus, je ne peux qu’imaginer à quel point mais je visualise mon cul devenu un trou à jus, juste bon à être rempli de tout ce qu’on peut imaginer. A chaque tour de vis, je sens mon cul s'étirer et le spéculum s’étendre contre les parois. Je ne connaissais pas cette sensation, c’est inconfortable. J'aurais pu tenter d'arrêter mais je veux qu'il soit fier de moi. Il doit maintenant avoir la vue sur mon cul grand ouvert, l’intérieur, le fond, tout ça lui appartient maintenant, il peut en faire ce qu'il veut. Il me demande si je veux voir une photo, je préfère refuser, imaginant très bien la vue qu'il peut avoir sur ce trou de pute, ouvert à toutes ses envies. Je suis fier mais un peu humilié de la partie de moi-même que je lui offre.

Il a envie de pisser, on retire le spéculum et on le remet dans la salle de bain. Je me retrouve à nouveau à 4 pattes dans la douche, il me demande de bien cambrer mon cul pour garder toute la pisse qu'il va mettre dedans. À peine en position, il commence littéralement à me remplir de sa pisse comme un urinoir. La chaleur de l'urine contraste avec le froid passé du spéculum. Plus il me remplit plus je prends du plaisir, je suis l’urinoir de mon Maître. A ce moment précis je suis fier de sentir que je sers à quelque chose. Mais contrairement à un urinoir, je sens mon cul déborder, il me pisse sur le dos en attendant que mon cul avale la pisse déjà entrée, puis le remplit à nouveau. Une fois son affaire terminée, il retire le spéculum avec la pisse toujours à l'intérieur. Je dois maintenant m'accroupir pour pisser par le cul pendant que mon Maître me regarde. Je baisse le regard, gêné de la situation puis je m'exécute, il me fixe. D’abord l’urine coule le long de mes cuisses puis en jet. Une fois de plus, je suis honteux mais heureux d’avoir pu contenir la pisse de mon Maître.

  • Demain tu la boiras !

Je savais à quoi m'en tenir. Sur le coup je me demande comment je vais pouvoir boire la même quantité qu'il m'a mit dans le cul. Je n'ai jamais bu autant de pisse d'un coup.

  • et interdiction d'en mettre une goutte à côté sinon il y aura une punition.

J'ai déjà pourtant l'impression que boire toute cette pisse est une punition mais non je suis son urinoir, être dispo pour boire sa pisse quand il en a envie est un devoir, pas une punition.

Le lendemain il a une bouteille toujours sur lui et boit tout ce qu'il peut. Il n’a pas oublié mais peut-être voudra t-il se vider dans mon cul ou sur moi. Environ 30 min après mon arrivée, il m'annonce qu'il a envie de pisser et me demande de le rejoindre dans la douche dans la salle de bain, à poil, à genoux devant lui. Il baisse son boxer et me met sa bite au repos dans la bouche. Là c'est clair, je vais devoir boire. je stresse un peu de peur de le décevoir si je n'arrive pas à tout boire. La pisse ne tarde pas à arriver, je sens ma bouche se remplir très vite, je n'ose pas encore avaler, mais ça arrive trop vite, j'avale donc par grosses gorgées, il pisse la même quantité que la veille, je ne saurai dire combien mais je n'avais plus soif après pendant un moment. La première gorgée est la plus dure, le reste passe tout seul, je sens se réchauffer ma bouche, ma gorge, mon ventre et tout mon corps. Je le regarde comme pour lui demander quand ça va s'arrêter mais sans pouvoir parler. Il en profite pour me cracher au visage et continue jusqu'au bout.

Finalement c'est moi qui devrai aller pisser sa pisse plus tard, ça me plaît d'être son urinoir. 

Par dogmino
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 30 novembre 3 30 /11 /Nov 23:12

A peine arrivé chez lui, mon Maître me place mon collier et me prépare le cul pour m'enfiler une queue de chien. Elle ne rentre pas facilement mais une fois à l'intérieur je sens qu'elle est à sa place. La douleur disparaît très vite à la vue de la chienne que je suis en train de devenir.

Aussitôt il me demande d'aller sur le lit, là il me noue les couilles avec une ficelle et attache chaque extrémité à mes gros orteils. Mes jambes sont à peine tendues, je ne pourrais plus marcher debout mais à 4 pattes sous peine de m’étirer les couilles. Même dans cette position, chaque avancée que je fais tire mes couilles de pute. Mon Maître m'ordonne de descendre du lit puis de remonter juste pour me voir essayer, je me sens comme une merde. Ensuite il me dit d'aller dans la salle de bain et de l'attendre à 4 pattes. Ce qui me laisse du temps pour réfléchir à ma position de chienne, c'est humiliant mais je bande. C'est ma place. Il me scotche les bras aux avant-bras pour que je ne puisse marcher que sur les coudes. Je perds quelques centimètres et me retrouve le cul cambré comme une chienne qui n'attend que des fessées ou d'être prise. Mon Maître me demande alors de marcher jusqu'au lit et m'arrête devant le miroir. Je me vois avec mon collier, à 4 pattes, cul vers le haut et queue dedans, les couilles reliées aux orteils. Je n'ose pas me voir, je regarde puis détourne le regard très vite. Suis-je vraiment en train de devenir ce que je vois ? À part la couleur de ma peau je n'ai plus rien d’humain, juste un animal.

 

Je suis à hauteur d'une chienne, je ne vois que les jambes et les pieds de mon Maître qu'il me demande alors de lécher. Je m’exécute sans le regarder. Je dois ensuite me débrouiller pour monter sur le lit qui est plutôt haut. Les coudes en avant, les couilles étirées qui m'empêchent de monter, on dirait vraiment une chienne en difficulté, j'ai honte mais j’y arrive finalement. Il en profite pour me claquer les fesses et me mettre un gode dans le cul, ce pourquoi j'étais destiné dans cette position. Pour finir, il me demande de le sucer pendant qu'il est sur son téléphone, il a l'air de s'en foutre mais je le fais puisqu'il me le demande. Encore une fois je n'ose pas le regarder, le regard de soumis que je pourrais lui donner suffit à m’humilier davantage.

Un autre soir il me demande d'enfiler des claquettes, un short et un t-shirt. Il attache une laisse à mon collier et me tire dehors. Il fait nuit et froid dehors et je n'ai rien en dessous du short. Mon maître me tient en laisse sur plusieurs mètres jusqu'à un parking au milieu de plusieurs résidences. Il me déshabille, m’ordonne de me mettre à 4 pattes et de lever une jambe.

  • Vas y pisse !

Je suis entièrement nu sur un parking, avec plusieurs personnes qui peuvent me regarder dans la nuit sans que je les vois, mon Maître à côté, tenant la laisse reliée à mon cou. Avec un peu de chance les gens peuvent croire qu'il sort son chien. Être une chienne me fait encore bander et la pisse arrive longtemps après. Je pisse enfin et ça ne s'arrête plus, ma jambe levée pour pisser sur le côté, j'essaie de ne pas m'en foutre partout, histoire de garder un peu de dignité. Ma pisse dégouline sur le parking et c’est toujours à 4 pattes et honteux que mon Maître me ramène à la maison.

IMG_20161130_220923334.jpg IMG_20161130_220940424.jpg IMG_20161103_205752286.jpg IMG_20161130_221247596_BURST000_COVER_TOP.jpg

Par dogmino
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 27 novembre 7 27 /11 /Nov 10:59

J'ai 25 ans mais je fais plus jeune, pas plus de 22 selon mon entourage. il arrive qu'on me donne même 20 ans. je suis fin, moins de 50kg, plutôt maigre, cheveux châtains clairs et yeux verts, le corps bien dessiné mais pas musclé, minet de visage, je plais beaucoup en général, une tête de passif en fait.

Mon Maître a 37 ans, plus imposant que moi, il est aussi plus viril, a les cheveux noirs et les yeux bruns. Il a un beau sourire qui devient menaçant par moments et un regard strict, surtout quand il s'apprête à me cracher sur le visage ou me taper lorsque je ne l'ai pas regardé dans les yeux. Lui s'habille toujours décontracté, jogging et t-shirt quand je suis avec lui, tandis que je me dois d'être à poil avec pour seul vêtement mon collier de chien.

On s'est rencontré sur un site de rencontre, il voulait un plan à 3 avec son mec et des plans hard à 2. J'ai tout de suite accepté la proposition notamment pour le hard. Il me demanda ce que j'aimais : uro, fessées, dogtraining, humiliation, etc. J'ai répondu que j'étais ouvert à tout.

Notre première rencontre s’est donc déroulée en présence de son mec. Nous avons fait un plan à 3 pendant lequel l’un et l’autre m’ont bien défoncé, tout en restant soft. Je savais que je passais un test et ai tout fait pour le réussir. En me raccompagnant au portail, celui qui allait devenir mon Maître m’a dit :

  • La prochaine fois ce sera plus hard, je veux que tu deviennes ma chienne

J’ai évidemment tout de suite accepté et suis rentré chez moi des étoiles plein les yeux.

Pour ce qui est de l'humiliation, il m'a directement plongé dedans la deuxième fois qu'on s'est vu. A peine arrivé chez lui, il me met un collier autour du coup encore habillé et m’annonce qu’il a un invité dans le salon. Il me dit d’aller le saluer par un “bonjour Monsieur”. Au début je pense à une blague mais je comprends qu’il est sérieux lorsqu’il me tire par le collier, l’air sévère. Dans le salon son ami est assis sur le canapé, lève les yeux en me voyant arrivé et ne peux que constater la présence du collier. Je suis rouge de honte et balbutie un timide “bonjour” espérant ne pas subir l'humiliation du “Monsieur” à un inconnu. Mon Maître me reprend :

  • “bonjour qui ?”

  • “Bonjour Monsieur” lui dis-je

Et je ressors du salon sans me retourner, honteux de cette humiliation, mon Maître tenant toujours mon collier.

 

IMG_20161115_203249304.jpg IMG_20161108_232238019.jpg  snap.jpeg
Par dogmino
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus